Norbec : une PME qui n’a pas froid aux yeux

Norbec : une PME qui n’a pas froid aux yeux

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Publié le 11 décembre 2018
Lecture : 3 minutes

Norbec : une PME qui n’a pas froid aux yeux

Créée il y a plus de 35 ans, en 1982, l’entreprise québécoise Norbec est un des chefs de file en chambres froides au Canada. Ayant diversifié ses champs d’expertise, Norbec est également un joueur important en panneaux architecturaux au Québec. À travers tous les défis qui ont pu se présenter, Norbec a su relever le plus grand et conserver la propriété québécoise de l’entreprise.

Développer de nouvelles expertises

Des Tim Hortons aux chaînes de supermarchés, détenant plus de 50 % des parts de marché au Canada, Norbec est la référence en chambres froides sur mesure au pays. Bien ancrée de notre côté de la frontière, elle entend maintenant percer le marché américain.

Norbec se limite-t-elle aux chambres froides ? Bien sûr que non.

Bien qu’elles représentent la vache à lait de Norbec, l’entreprise refuse de s’y restreindre. Depuis quelques années, elle développe son expertise, toujours plus pointue, en panneaux architecturaux isolants et revêtements de bâtiments. Le stade Telus de l’Université Laval à Québec ou le Grand Quai dans le Vieux-Port de Montréal, Norbec relève des défis de grande envergure. Cet élargissement de ses champs d’activité est à l’image du vent de changement qui a soufflé sur l’entreprise il y a deux ans au moment de la vente.

 

 

Démarrer au Québec, et y rester

En 2016, les fondateurs de Norbec ont fait le choix de vendre. Pour ce faire, l’accompagnement d’une institution financière était indispensable. « Les fondateurs ont fait affaire avec Desjardins Capital, parce qu’ils avaient une forte volonté de garder l’entreprise au Québec », explique Jan Lembregts, nouveau président de Norbec. Il importait aux fondateurs que les deux usines en Montérégie continuent de rouler. Leur vision s’arrimait à la mission de Desjardins Capital. « L’argent, c’est de l’argent. La différence, c’est le fait de vouloir soutenir les entreprises d’ici », lance M. Lembregts.

Grâce à l’appui de Desjardins Capital, la transition s’est déroulée à merveille : la croissance se poursuit et les embauches vont bon train. La relève est assurée pour Norbec, lui permettant ainsi de continuer d’innover pour ses clients. « Nous ne révolutionnons pas le modèle d’affaires, mais notre capacité à bien identifier les enjeux, à faire face aux problèmes et à concevoir des solutions sur mesure, c’est notre sweet spot », affirme M. Lembregts.

La croissance au cœur des enjeux

L’entreprise québécoise arrive actuellement à un moment charnière : passer d’une PME à « quelque chose de plus grand. » Avec ses quelque 250 employés et une croissance soutenue, elle est prête à évoluer. Avec l’expertise des employés et un appui financier important, il y a de quoi être confiant. « Nous avons une belle équipe dévouée et déterminée à relever les défis à venir », explique M. Lembregts. En ajoutant à son équipe de nouveaux membres, et leurs expertises, Norbec ouvre la porte à d’autres innovations, pour mieux répondre aux besoins de ses clients.

Malgré le récent changement de direction et l’importance de la transition qui s’amorce pour Norbec, une chose est certaine : l’entreprise veut demeurer fidèle à sa culture. « Il faut croître, mais pas à n’importe quel prix », prévient M. Lembregts. Face aux prochains défis et à l’entrée à venir sur le marché américain, le travail d’équipe, l’engagement des employés et le plaisir du travail bien fait demeurent des priorités chez Norbec.

Le succès ne vient pas seul. Il se cache derrière la force du nombre.

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